La quatrième de couverture:
« Voyager forme. Particulièrement la jeunesse, paraît-il. Voyager en Palestine forme énormément. Se retrouver tout à coup au beau milieu de l’occupation, des violences, des militaires, de ceux que l’on nomme “terroristes”, du quotidien plus que difficile de ce peuple opprimé, cela forme, certainement, cela bouleverse, cela vous change. Même si l’on est un très ancien militant de la cause des Palestiniens. »
Pascal Pratz
« Je repense à l’élégance absolue de H., au cœur gros comme ça de Y., à la rigueur de B., à tous ces enfants adorables, à tous les sourires, tous ces bras ouverts. A l’indignité politique et morale qui m’animait avant mon départ, j’ai ajouté une dimension émotionnelle. Je militerai maintenant non plus seulement pour faire respecter le droit mais aussi pour sauver des gens que j’aime. »
Editions du Petit Pavé - 2008
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1 commentaire:
J'avais seulement lu quelques passages de "Quelques jours en Palestine" ; samedi
après midi me suis offert un moment de calme au parc Montsouris et j'ai lu, en
prenant le temps, la moitié du livre. Le soir j'ai lu le reste chez moi,
tranquillement.
Si j'étais encore libraire, j'en ferais une pile et en parlerais le plus
possible. Je suis très touchée par l'attitude de cet homme qui témoigne avec
tant de simplicité et offre ce livre à ses amis Palestiniens et donne à regarder
clairement les choses avec une sobriété rare. Ça tranche avec les articles
savants, théoriques ou écrits dans l'émotion. C'est écrit d'une façon qui force
le respect et donne envie, justement, de ne pas employer de mots "importants" ni
d'attitudes militantes. Je n'ai rien d'autre à proposer que de faire connaître
ce livre le plus possible autour de moi. J'avais d'abord vu le livre de contes.
Je viens de réaliser seulement que c'est le même homme. Je voulais apprendre un
des contes déjà... d'autant plus maintenant, pour participer à votre geste.
Merci de ce que vous nous donnez. Claire
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